Le 20 mars est la Journée internationale de la Francophonie. L’occasion de (re)mettre en lumière les interviews et les tribunes que nous avons publiées depuis notre création en août 2014. Nous avons notamment abordé la communication publique et politique en Afrique, en Belgique, en Tunisie, au Québec, à Madagascar ou encore à Haïti… Et bien sûr en France (mais nous ne parlerons pas aujourd’hui de la France). Chaque interview et chaque tribune que nous publions nous permet d’enrichir notre connaissance de la communication publique et politique dans le monde francophone et de souligner ce qui nous distingue… mais surtout ce qui nous rassemble.
« Venir faire de la communication publique et politique en Afrique, c’est accepter de se réinventer » (Marion Scappaticci)
« En Belgique, la communication publique doit être reconnue comme un métier à part entière et non comme un décor » (Jacques Moisse)
« Les meetings politiques sont très différents au Québec et en France » (Christian Agbobli)
« Adepte du symbole et des mots qui touchent, la communication d’Elio Di Rupo s’inscrit principalement dans le registre du pathos » (Nicolas Baygert)
« Les apports de la communication publique dans le domaine de la Santé en Tunisie » (Hichem Ben Hacine)
« Les politiques belges sont moins présents sur les réseaux sociaux qu’en France » (Nicolas Vanderbiest)
« On ne peut pas faire de communication publique et politique en Haïti sans maîtriser le créole haïtien » (Axelle Kaulanjan)
« Le prochain défi de la communication publique en Belgique, c’est l’accès intelligible aux données numériques » (François Lambotte)
« Les réseaux sociaux, qui ont fait leur apparition dans la vie quotidienne des Malgaches vivant dans les grandes villes, ont été très utilisés par les candidats lors des élections présidentielles » (Jean-Charles Turpault)
« La Belgique dispose d’excellents communicants mais d’assez mauvaises plumes » (Loïc Nicolas)
« Au Québec, il est impensable d’utiliser en communication publique des anglicismes et des emprunts à l’anglais » (Louis Latraverse)
« JKAdventures est en Belgique le premier tract électoral 3.0 » (Joëlle Kapompolé)
« La communication politique digitale du Parti libéral du Québec est bien développée » (Loïc Gonsolin)
« Les applications et les brochures interactives peuvent permettre en Belgique de casser l’image trop ennuyeuse et un peu poussiéreuse de l’administration » (Nancy Ngoma)
Découvrez (aussi) nos interviews sur la communication publique et politique en France : https://cercledescommunicants.com/les-interviews/